







De la Cité à la Villa …
De l’Observatoire aux dernières heures des Grands-Voisins…
La nature immuable ne subit pas.
De la Cité à la Villa …
De l’Observatoire aux dernières heures des Grands-Voisins…
La nature immuable ne subit pas.
Comme la fin d’un enchantement…
Comme la fin d’un enchantement… Continuer à lire … « De nature spontanée »
Depuis lundi je voulais voir la Seine, comme parfois, je veux voir la mer. Continuer à lire … « Seine de vie »
Cette semaine à Paris.
Ce matin plus de 3000 concurrents se sont lancés dès 9 heures dans le bassin de Villette pour 1500 mètres de nage libre du triathlon nouvelle Edition de Paris.
J’ai l’air de cette chanson dans la tête.
Ce matin plus de 3000 concurrents se sont lancés dès 9 heures dans le bassin de Villette pour 1500 mètres de nage libre du triathlon nouvelle Edition de Paris. Direction la Géode.
Après le départ de la première vague, je me suis rendue à la première transition. Je suis fascinée par toute la préparation de ces compétiteurs : mental, corps, matériel. Les transitions sont règlementées. Passer de nageur en combinaison à cycliste. Puis ensuite de cycliste à coureur n’est pas une évidence, loin de là.
Oui, les transitions sont stratégiques : on peut gagner ou perdre du temps.
Une erreur d’itinéraire, une chute, une crevaison, un bidon qui tombe….
Tout peut arriver !!! Quel suspense…
Je prends la même direction que les concurrents qui partent le vélo à la main.
Vue sur la Philharmonie dans les nuages.
Puis retour sur les quais du bassin de la Villette.
Image sympathique : à gauche, sur les pavés glissants, les triathlètes en vélo, « un véritable Paris-Roubaix », à droite, les nageurs et au milieu, les supporteurs « Allez Jérôme » et les habitués du quartier, qui en boubou avec un caddie, qui avec poussette et marmaille, qui endimanché, se retrouvent sous la pluie dans cette jolie ambiance surréaliste.
Je ne peux vraiment pas suivre à pied les vélos …
40 kms …Avec toute ma bonne volonté … Je suis trempée …Et puis, nous ne sommes pas à Lausanne, où toutes les épreuves ont lieu sur le même spot autour du lac…Où il est possible de suivre toute la course en un clin d’œil …
Ici, les concurrents ont Paris à leurs pieds : cela doit être grandiose …
Habituée des courses à pied dans Paris, j’apprécie le parcours en plein centre de Paris…J’avoue, qu’en tant que participante, je n’aime pas les boucles…le parcours fait partie de ma motivation …Esthète, j’ai souvent la tête levée…Je profite à fond de ce moment. Paris, c’est mon rêve joli !
Je prends le métro à Stalingrad. Je me rends tout d’abord à Charles de Gaulle Etoile (ligne 2) puis à Trocadéro (ligne 6).
Du Trocadéro, j’ai une vue fantastique sur le parcours et l’aire de transition au pied de la Tour Eiffel.
Je peux voir quelques-uns et quelques-unes arriver en vélo, puis repartir à pied….
Puis je me rends dans le village Triathlon expo où se trouve l’arrivée.
Et j’ai le plaisir de voir les 10 premiers « finishers « …
Le premier réalise le tout en 1.53.13.
Pas mal … Il faut encore grignoter quelques minutes pour un podium olympique…Quelle fraîcheur …
Léonie Periault, le sourire de Poissy, est 8ème au classement général.
Bravo à tous les concurrents !!!
Ce n’est pas tout, j’ai une petite faim.
Une envie de cerises …je me rends au marché de la Motte-Piquet et regardez !
C’est un signe …
J’ai deux amours, les J.O et Paris ….