







De la Cité à la Villa …
De l’Observatoire aux dernières heures des Grands-Voisins…
La nature immuable ne subit pas.
De la Cité à la Villa …
De l’Observatoire aux dernières heures des Grands-Voisins…
La nature immuable ne subit pas.
Comme la fin d’un enchantement…
Comme la fin d’un enchantement… Continuer à lire … « De nature spontanée »
Depuis lundi je voulais voir la Seine, comme parfois, je veux voir la mer. Continuer à lire … « Seine de vie »
Un coin « pommé » en Normandie.
Si proche, si loin.
Je m’émerveille.
Hilma af Klint me parle mamalais.
Ma feuille blanche fait écho à
l’instant blanc de Jean-Pierre
Lemaire.
Etincelle de chaleur.
Je souris.
Première pause de l’été dans ce petit village du Livre.
Je chemine avec bonheur avec Peau d’Ane et le Vilain Petit canard,
Je me plonge dans la quête du Graal de Jean-Marie Martin,
Celle du Papier, de l’écriture et du Livre.
Bientôt la mer !
Un platane remarquable sur le boulevard de Charonne,
Puis en quittant la rue de Bagnolet, le silence et la nature s’imposent.
Cité, Villa, jardins partagés, jardin naturel, jardins sur les toits, petite ceinture et le Père-Lachaise.
Un dédale de ruelles, de passages et d’impasses. De Dieu à Satan ou vis et versa.
Une cure providentielle de plein air dans cette belle région authentique et chaleureuse.
A deux pas de Paris,
Le granit,
Le vert profond des conifères, le vert tendres des hêtres,
Les tourbières, l’eau qui rigole partout,
Les ballons sur les crêtes,
La neige et jonquilles dans la montée du Reinkopf, des chamois, Continuer à lire … « Le bon air de printemps des Vosges »
Littéralement. Continuer à lire … « Entrer dans l’œuvre »